Étape 1 : collecte des matières premières récupérées par Sanimax
Chaque jour, Sanimax collecte les matières premières récupérées et sous-produits animaux sur des milliers de sites, comme des fermes et des abattoirs, desservant plus de 40 000 clients en Amérique du Nord. Ce ramassage rapide est essentiel pour prévenir les risques sanitaires et environnementaux.
Chaque jour, Sanimax collecte les matières premières récupérées et sous-produits animaux sur des milliers de sites, comme des fermes et des abattoirs, desservant plus de 40 000 clients en Amérique du Nord. Ce ramassage rapide est essentiel pour prévenir les risques sanitaires et environnementaux.
Étape 2 : transformation en usine et procédé d’équarrissage
Une fois à la bonne usine, les matières premières récupérées sont transformées par équarrissage : elles sont cuites, puis passées en centrifugeuses ou presses pour séparer la graisse, les solides et l’eau, avant de sécher les protéines. On obtient ainsi de la graisse fondue (suif/gras animal) et des farines protéinées. D’ailleurs, dans ses 17 sites, Sanimax assure une transformation sécuritaire et constante, avec contrôle qualité et traçabilité permettant une utilisation agroalimentaire.
Une fois à la bonne usine, les matières premières récupérées sont transformées par équarrissage : elles sont cuites, puis passées en centrifugeuses ou presses pour séparer la graisse, les solides et l’eau, avant de sécher les protéines. On obtient ainsi de la graisse fondue (suif/gras animal) et des farines protéinées. D’ailleurs, dans ses 17 sites, Sanimax assure une transformation sécuritaire et constante, avec contrôle qualité et traçabilité permettant une utilisation agroalimentaire.
Étape 3 : produits finaux et nouvelle vie des sous-produits
Une fois traitées, les matières premières récupérées sont revalorisées en matières premières comme des protéines, des graisses et des huiles. Ces ingrédients sont vendus à diverses industries : nutrition animale (farines pour bétail et animaux de compagnie), fabrication de solvants, peintures, cires ou même biodiésel. Ces sous-produits retournent ainsi dans l’économie sous forme d’articles du quotidien, illustrant un modèle d’économie circulaire où chaque matière première récupérée devient une ressource utile.
Une fois traitées, les matières premières récupérées sont revalorisées en matières premières comme des protéines, des graisses et des huiles. Ces ingrédients sont vendus à diverses industries : nutrition animale (farines pour bétail et animaux de compagnie), fabrication de solvants, peintures, cires ou même biodiésel. Ces sous-produits retournent ainsi dans l’économie sous forme d’articles du quotidien, illustrant un modèle d’économie circulaire où chaque matière première récupérée devient une ressource utile.
Produits finaux et nouvelle vie des sous-produits
Une fois traitées, les matières premières récupérées sont revalorisées en matières premières comme des protéines, graisses et huiles. Ces ingrédients sont vendus à diverses industries : nutrition animale (farines pour bétail et animaux de compagnie), fabrication de solvants, peintures, cires ou même biodiésel. Ces sous-produits retournent ainsi dans l’économie sous forme d’articles du quotidien, illustrant un modèle d’économie circulaire où chaque matière première récupérée devient une ressource utile.
Une fois traitées, les matières premières récupérées sont revalorisées en matières premières comme des protéines, graisses et huiles. Ces ingrédients sont vendus à diverses industries : nutrition animale (farines pour bétail et animaux de compagnie), fabrication de solvants, peintures, cires ou même biodiésel. Ces sous-produits retournent ainsi dans l’économie sous forme d’articles du quotidien, illustrant un modèle d’économie circulaire où chaque matière première récupérée devient une ressource utile.
Avec notre économie circulaire, nous rendons l’industrie agroalimentaire plus verte et plus durable!
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